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Agrilogique en 5 preuves

Preuve n°1

Favoriser la biodiversité

Que fait-on concrètement ?

Notre ambition est que les exploitations agricoles Agrilogique puissent servir d’habitat et de refuge pour une faune et une flore diversifiées : les haies, les arbres, des murets en pierre, talus du bocage…
Quand nous ne pouvons pas le faire sur une surface satisfaisante, nous mettons par exemple des fleurs autour des parcelles de salades pour faire venir des coccinelles qui nous aideront à lutter contre les pucerons.

Pourquoi fait-on cela ?

Dans un contexte écologique difficile, nous préservons la biodiversité pour que la faune et la flore puissent réinvestir les lieux et que l’on puisse remettre en place des mécanismes de régulation naturelle.

Pourquoi c’est contraignant ?

Mettre des rangées de fleurs dans un champ, ça veut dire sacrifier des rangées de carottes et de salades, mais nous faisons cela car notre priorité est de diminuer significativement l’usage des pesticides.

Preuve n°2

Fertilisation organique minérale

Pourquoi fait-on cela ?

Parce que la plupart des engrais nourrissent uniquement la plante.
Nous voulons aller plus loin en luttant contre l’appauvrissement des sols : nous utilisons des méthodes de fertilisation naturelle qui redonnent à la terre tous les éléments nutritifs nécessaires à la vie du sol et à la santé de la plante.
Nous travaillons dans l’esprit d’une agriculture circulaire en utilisant des engrais organiques issus du recyclage, tels que le compost.

Pourquoi est-ce contraignant ?

Parce qu’à court terme, les résultats sont visibles moins rapidement. Mais cette méthode de fertilisation s’inscrit dans une démarche durable vertueuse à terme pour nos exploitations et pour l’environnement.
Cela nous oblige à être précis et à piloter au plus juste les apports en éléments nutritifs au bon moment.

Preuve n°3

Protection des plantes

Que fait-on concrètement ?

Nous supprimons les pesticides toxiques les plus dangereux ou à fort risque de résidus. En contrepartie, nous privilégions les solutions et techniques alternatives comme le binage, paillage, filets, substances naturelles… Si l’utilisation de pesticides chimiques est nécessaire, nous travaillons sur le dosage et sur le délai entre le traitement et la récolte pour s’assurer que la plante a bien éliminé les résidus.

Pourquoi est-ce contraignant ?

Car se passer des pesticides de synthèse implique parfois de déployer des trésors d’ingéniosité pour lutter contre les maladies ou les ravageurs.
La prise de risque pour l’agriculteur est donc beaucoup plus importante.
Mais les solutions alternatives existent et elles ont fait preuve de leur efficacité.
En parallèle, la recherche nous permet de trouver des nouvelles solutions naturelles innovantes pour diminuer significativement l’utilisation de pesticides.
Au final, nous protégeons à la fois la plante, le consommateur, mais aussi bien sûr l’agriculteur.

Preuve n°4

Agriculture de précision

Que fait-on concrètement ?

Nous utilisons différentes techniques d’agriculture de précision pour gérer la fertilisation (mesures par drone, analyse du sol et de la plante…), l’irrigation (station météo, sonde d’humidité, goutte à goutte…) et la protection des cultures (outil d’aide à la décision, traçage par GPS…). Notre objectif est d’utiliser au minimum 3 de ces techniques innovantes sur nos parcelles.

Pourquoi fait-on cela ?

Pour préserver absolument les ressources, et nous permettre d’intervenir uniquement lorsque la plante en a réellement besoin.

Pourquoi est-ce contraignant ?

Cela implique bien sûr un investissement dans du matériel et des outils de pointe, mais aussi du temps d’analyses et de la surveillance en continu. Cela mobilise de l’expertise dans le suivi de la culture et de la recherche pour faire toujours évoluer nos techniques. C’est néanmoins un pari gagnant pour apporter le juste nécessaire à nos légumes.

Preuve n°5

Emballages

Que fait-on concrètement ?

Nos emballages ont un rôle fondamental : ils servent à préserver le légume et sa sécurité alimentaire tout en permettant son transport et sa distribution jusqu’au consommateur.
Nous nous engageons dans l’écoconception de nos emballages pour minimiser notre impact sur l’environnement à chaque étape du cycle de vie de l’emballage. Cela veut dire que nous cherchons le meilleur compromis pour réduire l’utilisation des ressources au minimum nécessaire tout en garantissant un maximum de fonctionnalités de l’emballage.

Comment agit-on ?

Nous appliquons les enseignements de l’économie circulaire, principe nécessaire pour limiter le changement climatique (objectif des accords de la COP21 : rester sous +2° d’ici à 2100).
Nous favorisons donc des emballages qui rentrent dans les consignes de tri pour être recyclés ou valorisés.
Aujourd’hui, tous les plastiques ne rentrent pas encore dans les consignes de tri (objectif 100% du territoire français en 2022). Ils ne peuvent pas encore tous être recyclés ou valorisés.
Nous privilégions les matières qui ont des filières de valorisation existantes pour tendre le plus possible vers la circularité des matériaux de l’emballage.